Violence conjugale : L'ex d'Elisabeth Rioux a enfin reçu sa sentence après avoir plaidé coupable | billie
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Violence conjugale : L'ex d'Elisabeth Rioux a enfin reçu sa sentence après avoir plaidé coupable

Mise en garde / Traumavertissement : cet article parle de violence conjugale.

L’ex-conjoint de la femme d’affaires et influenceuse Elisabeth Rioux a écopé ce matin de six mois de prison ferme pour des voies de fait et menaces de mort dans un contexte de violence conjugale.

«Une période de détention ferme, on pense que ça envoie un message à la société : la violence conjugale n’est pas tolérée et les tribunaux n’hésiteront pas à répondre en imposant des sentences de détention», a dit la procureure de la Couronne Me Fanny Dubois-Grondin dans le dossier de Bryan McCormick.

Rappelons qu’un exposé conjoint des faits avait été présenté au moment où l’homme de 28 ans avait plaidé coupable, en décembre 2021. Cela a donc évité à Elisabeth Rioux de témoigner lors d’un procès.

• Plus de détails : L'ex-conjoint d'Elisabeth Rioux plaide coupable à plusieurs chefs d'accusations

La maman de 25 ans n’était d’ailleurs pas présente ce matin à l’audience au palais de justice de Saint-Jérôme. Elisabeth se trouve plutôt en voyage dans les Bahamas avec ses amies pour prendre des photos de ses nouveaux maillots de bain.

Entre 13 à 15 épisodes d’agressivité sont survenus sur une période d’environ un an. Les comportements de McCormick ont commencé quand la femme d’affaires était dans son premier trimestre de grossesse et se sont poursuivis jusqu’en septembre 2020, moment où elle a porté plainte à la police.

C’est en réplique à une mauvaise blague que son ex a publiée sur Instagram, qui laissait entendre qu’elle aurait pu lui être infidèle, que la jeune femme avait avoué être victime de violence conjugale. Bryan McCormick avait alors tout nié. 

Au moment d'écrire ces lignes, Elisabeth n'a pas commenté le tout, mais dans tous les cas, elle a fait preuve de beaucoup de courage dans cette épreuve et aura sans doute inspiré d'autres victimes de violence à dénoncer leur agresseur.

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SOS violence conjugale 

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